Un dimanche matin à Midyat : pastahane+petits pains chauds au fromage (poghaça) + Dalida (le tube qu’avaient repris les Bronzés). En notre honneur, bien sûr. Déjà dans un cybercafé ils avaient passé Aicha en boucle pendant deux heures. Là ils sont très enthousiastes, la musique est à fond. C’est agreable de prendre son petit dej’ « au calme » dans l’ambiance sonore d’une boite de nuit.
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On se sait pas on attend
le monde s’est-il fermé
on ne sait pas
il n’y a plus de ciel plus de terre plus de jardin de roses
on attend
peut-être séparés à jamais
séparés jamais perdus l’un à l’autre
mais séparés
on ne sait
mangeront-ils nos âmes et nos yeux
dans le renoncement la mort grise
Leurs barreaux sont infinis
infinis comme l’oppression
stupidement infinis
Il faut attendre
un jour où s’ouvre la rose d’amour
dans la tyrannie
dans l’absurde la haine têtue
l’amour patient comme renard malicieux
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n hesitez pas a vous equiper d un lexique wow, j ai du maal a comprendre, j avoue en tout cas merci pour ce billlet interessant ! c ets toujours sympathique de paqser sur ce blog